2021 ! Nouvelle année et nouvelle décennie (en espérant qu’elle soit meilleure que 2020) : nouvelles perspectives !
A chacun d’entre vous, nous souhaitons une belle année, avec la meilleure santé possible ou, du moins, avec le meilleur contrôle des souffrances ou handicaps de nombre d’entre nous.
Au sein de l’ARSER, notre vœu, notre défi est d’apporter conseils, réconfort et orientations médicales appropriées aux personnes qui souffrent de séquelles de la radiothérapie quelles qu’elles soient.
Nous soutenons ainsi activement la recherche médicale et la recherche appliquée, avec un conseil scientifique qui s’est étoffé de membres de grande qualité.
Votre soutien et vos témoignages sont précieux, ils permettent à de nombreuses personnes égarées de trouver notre expertise, en France comme à l’étranger.
C’est pourquoi nous vous remercions de tout cœur d’être à nos côtés.
Prenez soin de vous !
Bien cordialement,
Pour le Conseil d’administration de l’ARSER,
Roselyne Nicolas
Secrétaire générale
Association pour la recherche sur les séquelles de la radiothérapie
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Le Conseil d’Administration
Le Conseil d’Administration est l’organe de direction opérationnel de l’Association. Ses membres sont élus par les adhérents au cours d’une assemblée générale. La durée de leur mandat est de trois ans. Le Conseil d’Administration élit son bureau : Président, Vice-président, Secrétaire général, Trésorier.
La composition actuelle du Conseil d’Administration est la suivante : Présidente : Pr Sylvie DELANIAN – Vice-Président : Pr Pierre-François PRADAT – Secrétaire générale : Roselyne NICOLAS – Trésorier : Benoit BRUET – Responsables des Relations extérieures : Jean-Pierre BRIOT – Délégations : Bretagne : Jean VALLEE – Occitanie : Hans CARL.
Le Bureau de l’ARSER
Pr Sylvie DELANIAN – Présidente
Pr Pierre-François PRADAT – Vice-Président
Roselyne NICOLAS – Secrétaire Générale
Benoît Bruet – Trésorier
Jean-Pierre BRIOT – Responsable des Relations extérieures
L’Association est assistée au niveau national par un conseil scientifique. Les membres du conseil scientifique sont choisis par le conseil d’administration pour un mandat de deux ans, renouvelable. Le rôle du conseil scientifique est défini dans le règlement intérieur.
La composition actuelle du Conseil Scientifique est la suivante :
Pr Pierre-François PRADAT, Président du CS – Docteur en médecine (MD), Docteur ès sciences (PhD), Praticien Hospitalier, Chercheur, Département des Maladies du Système Nerveux, Hôpital Pitié-Salpêtrière APHP (Paris), Professeur de Neurosciences Université d’Ulster (Royaume-Uni)
Pr Sylvie DELANIAN, Vice-présidente du CS – Docteur en médecine (MD), Docteur ès Sciences (PhD), Praticien Hospitalier, Oncologie-Radiothérapie ; Radiopathologie – Fibrose, Hôpital Saint-Louis APHP (Paris) Professeur au Collège de Médecine HP
Dr Sameh AWAD, Docteur en médecine (MD), Ancien PH à Hôpital Georges Pompidou, PA Hôpital Paul Brousse Radiologue Vasculaire et Interventionnel, Membre Sté Française de Radiologie, Sté Francophone Abord Vasculaire, Sté Française Imagerie Cardiaque Vasculaire, Sté Européenne Radiologie Cardiovasculaire Interventionnelle
Pr Céline BOURGIER, Docteur en médecine (MD), Docteur ès Sciences (PhD), Professeur des universités MCU-Praticien Hospitalier, Directrice de l’Ecole du Cancer Oncologie-Radiothérapie ; Radiopathologie, Institut du Cancer Montpellier (ICM)
Dr Cécile CHATEL, Docteur en Odontologie Praticien Hospitalier, Odontologie en Service de chirurgie maxillo faciale et chirurgie plastique, CHU de Grenoble
Dr Alexandra FOURCADE, Docteur en médecine (MD), Spécialiste en Santé publique au Ministère de la Santé. Adjointe au Maire de Neuilly sur Seine
Pr Mehdi KAROUI, Docteur en médecine (MD), Docteur ès Sciences (PhD), Professeur des Universités Praticien Hospitalier (PUPH), Chirurgie viscérale et digestive, Chef de Service Hôpital Georges Pompidou APHP (Paris), Bureau du Collège de Chirurgie et du Conseil National des Universités de Chirurgie viscérale et digestive
Jean-Louis LEFAIX, Docteur ès sciences (PhD), Ancien Chercheur en Radiobiologie-Radiopathologie Laboratoire de Recherche de Radiobiologie du Commissariat à l’Energie Atomique CEA (Caen)
Dr Gwendoline SEBILLE, Docteur en médecine (MD), Dermatologie libérale au Centre Laser Paris (CLIPP), DIU de dermatologie, Ancienne Interne CHU Strasbourg et résidente à Gustave Roussy Membre de Société Française de Dermatologie et Groupe Laser
Dr Stéphane VIGNES, Docteur en médecine (MD) Chef de service de l’Unité de Lymphologie de l’Hôpital de Cognacq-Jay(Paris), Centre de référence des maladies vasculaires rares
Pr Marie-Catherine VOZENIN, Docteur ès sciences (PhD) Professeur des Universités Chercheur en Radiobiologie-Radiopathologie Directrice du Laboratoire de Recherche de Radio-Oncologie, CHUV de Lausanne (Suisse)
Pourquoi l’ARSER ?
Dr Sylvie DELANIAN Oncologue-Radiothérapeute, Hôpital Saint-Louis
C’est un grand espoir parce qu’elle se démarque par sa pertinence, d’une part, et son absence de quérulence, c’est-à-dire que l’objectif n’est pas de protester, de dire « pourquoi moi ? ».
… Bon, il y a un constat de « c’est inéluctable », en revanche : « que peut-on faire ?».
C’est-à-dire, c’est une question active. On a déjà dans cette association digéré la pilule de : « Tant pis, c’eût été préférable que ça n’arrive pas ; mais maintenant que c’est arrivé, que fait-on ?».
Les pouvoirs publics font très bien tout ce qui est en amont, c’est-à-dire la prévention, le fait de faire une radiothérapie plus ciblée, plus adaptée, plus intelligente ; mais de toutes manières, quoiqu’on fasse, il y aura toujours un petit contingent et ce petit contingent ce sont des gens et ces gens ils existent. Derrière les radios, il y a quelqu’un et ce quelqu’un a besoin d’être aidé et je veux bien être une des personnes qui veut bien les aider.
Dr Pierre-François PRADAT Neurologue, Hôpital La Pitié-Salpêtrière
J’ai surtout eu la chance de pouvoir rencontrer Monsieur Hervé LIONEL-MARIE et de me rendre compte que ce qu’il pouvait apporter à cette thématique qui m’intéressait été absolument déterminant et qu’il pouvait apporter des choses que moi j’étais incapable de fournir.
Alors on a parlé du financement de la recherche, c’est vrai qu’il y a le financement institutionnel mais il est insuffisant. Donc il y a besoin que la société civile vienne apporter son support. Donc le rôle d’une association dans cette optique est absolument essentiel.
Il y a une autre chose c’est de pouvoir dialoguer avec les pouvoirs publics. Et on sait que l’évolution actuelle qui est d’ailleurs, peut-être et même sans doute, une bonne évolution et que interlocuteurs des pouvoirs publics ne sont plus les médecins mais sont les associations de patients. Donc l’ère des médecins tout puissants que les ministres consultaient, c’est du passé. Donc on a besoin de gens qui sont concernés par la pathologie mais qui ont une vision plus large que notre vision technique qui est forcément réductrice des problèmes médicaux.
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